Les toiles de Jean-Charles Toullec ont plusieurs vies, comme lui. Des strates qui s'entrecroisent sans s'empiler rigoureusement. Des mots les peuplent, des coulures les saignent, des couleurs les illuminent, des collages les brutalisent, des tatouages les signent. Au final, toute une histoire se raconte : des figures, des visages, des animaux anthropomorphes, à moins que ce ne soit des icônes bestiales.